La notion de quantification et de chiffrage depuis une maquette numérique est essentielle pour une entreprise de construction.
Exemple d’utilisation sur un chantier
Faire un métré de carrelage
Le carreleur a dans son marché la réalisation d’une villa en carrelage grands carreaux et d’apparence très moderne et couteuse. Le client souhaite une pose oblique (45°). Le calepinage étant complexe au vue de la forme particulière des murs, le carreleur pourra utiliser son logiciel métier exploitant les IFC ou une solution de programmation intégrée à un logiciel de maquette pour calepiner ses carreaux.
Le logiciel est ainsi capable non seulement de décompter le nombre exact de carreaux à commander, mais aussi d’anticiper les découpes et la réutilisation des chutes pour minimiser les pertes et optimiser le débit de carreaux. Bien que le marché soit signé à un prix forfaitaire, le carreleur a tout intérêt à éviter les pertes et à ramener à son fournisseur le maximum de cartons non ouverts pour se les faire rembourser. Fiabiliser ses devis est donc essentiel.
L’utilisation du BIM permet alors directement de réduire les coûts de construction sur chantier et donc d’augmenter sa marge.
Exigences matérielles | Un ordinateur, | |
Exigences logicielles | Un logiciel de maquette numérique + un plugin /ou un logiciel métier permettant l’optimisation du calepinage et le réemploi des chutes.
Le logiciel doit être capable de dégager les quantités pour établir le métré. |
|
Exigences BIM | Que la maquette soit mise à jour avant l’intervention du carreleur pour tenir compte des éventuels décalages d’implantation des murs. |